Une fois n’est pas coutume, j’ai eu l’occasion de répondre à une longue interview pour le compte de mon éditeur actuel, les Editions Nestiveqnen !
Il y est question bien sûr des deux romans que j’ai publiés chez Nesti, L’eau du Léthé et La nuit des sorcières, mais aussi de mon parcours, de ma manière de travailler, de mon rapport à l’écriture et de mes projets. En effet, en fin d’interview, vous aurez quelques infos sur mes prochains romans à paraître cet automne chez cet éditeur, une duologie post-apocalyptique dont les tomes s’intituleront Le Septième Arcane et Le Vingtième Arcane.
C’est une interview plus fouillée qu’à l’ordinaire, j’ai pris plaisir à répondre à ces questions et j’espère que vous prendrez également du plaisir à lire mes réponses ! Voici un petit extrait pour vous mettre l’eau à la bouche :
Aviez-vous trouvé l’histoire et les personnages avant de choisir la période historique ou avez-vous adapté votre scénario en fonction de la période ?
A C. : Je ne construis pas une histoire avant d’avoir posé le cadre qui en est pour moi un élément essentiel. Mes premières notes concernent toujours le lieu et la période historique. Même si j’ai déjà des notions de mon futur synopsis, celui-ci va toujours s’imbriquer dans un cadre qui va nécessairement le façonner. Ainsi, certaines scènes de L’eau du Léthé se sont construites en fonction de la période historique et de ce qu’il était réaliste d’y placer ou non. J’estime que c’est à moi et à mon récit de nous adapter à la réalité des faits et non l’inverse. C’est encore plus vrai pour La nuit des sorcières où j’ai essayé de coller jour par jour, presque heure par heure, à la réalité historique du siège de Strasbourg. Le déroulement de l’histoire en a forcément été impacté.
Nestiveqnen.com
Retrouvez l’intégralité de l’interview directement sur le site des Editions Nestiveqnen en cliquant ici.
Et n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé en commentaire. 🙂